Quatre pièces en laiton ont été usinées : elles sont prévues pour accueillir les joints et faire l'étanchéité sur les barres.

On retrouve une sonde, prête à être collée à la coque Voir la galerie

Ces 4 pièces sont visibles ci-dessus, avant collage. Leur collage est une opération qu'il faut soigner car c'est ici que se décide l'alignement des barres. Il faut qu'elles forment un X parfait. Pour ce faire, une tige traverse la poupe : elle me permet d'avoir une référence pour mes alignements.

Collage des sorties étanches des 4 barres arrière du Collins Voir la galerie

Le flou au centre de la photo est l'extrémité de cette tige filetée que l'on voit sous un autre angle ici :

Collage des sorties étanches des 4 barres arrière du Collins Voir la galerie

Les 4 axes n'étant pas dans le même plan, il n'a pas été possible de traverser chaque paire opposée par un seul axe, cela aurait été trop simple... !

L'extrémité de la poupe du Collins Voir la galerie

Une fois les pièces en laiton collées (avec de la choucroute : une pâte de résine armée), il est temps de réaliser les pièces qui viendront se loger dedans.

Usinage des presses-étoupe des barres arrières Voir la galerie

Il s'agit de supports de joints en aluminium ; chaque pièce porte deux joints :

• un joint pour faire l'étanchéité entre l'axe de la barre et la pièce en aluminium ;


• un joint pour faire l'étanchéité entre la pièce en aluminium et le support en laiton.

Ce système présente l'avantage d'être facilement démontable. Une intervention pour changer un joint défectueux est donc facilité.

Les presses-étoupe des barres arrières Voir la galerie

Une fois les pièces logées, la mécanique interne peut être connectée. Les pièces grises que l'on voit ci-dessous, à l'intérieur des supports en laiton, ce sont des rondelles en PVC maintenues par des vis et servant à garder les pièces en aluminium en place.

Détails sur la mécanique des barres Voir la galerie

Quant aux tests d'étanchéité, ils sont concluants !